Vous désirez nous faire part de vos commentaires concernant l'Embrun Man : N'hésitez plus, cette rubrique et pour vous !
Envoyez vos mails à : bay01@wanadoo.fr
06/06/06 |
remerciements |
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un petit bonjour du nord de la france j'habite a givenchy en gohelle pres de lens dans le Pas -de- Calais je viens de lire pour la premiere fois l'ensemble des messages de felicitations sur embrunman 2005 .je trouve l'ensemble des mail tres justes j'ai moi meme fait l'epreuve en 2005,j'ai eu la chance d'etre interviewer dans le parc a velo car mon nom de famille est dambrain et par ce fait je voulais faire le triathlon DAMBRAIN !!! l'annee de mes 40 ans.je reviendrais en 2007 ps merci aux benevoles,au public et a l'organisation sportivement jean marc |
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29/05/06 |
ABANDOU OU |
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jean-louis_bret@mavic.fr |
Le mot "ABANDON" est terrible pour un concurrent, quelque soit le sport Faites comme à l'Ultra Trail du Mont-Blanc, où les organisateurs utilisent le terme "s'est arreté au km ...." Détail ??? Pas si sûr. Les lendemains de course ne sont pas les mêmes pour tout le monde
Jean-Louis |
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23/01/06 |
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didier.chaubet@wanadoo.fr |
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22/01/06 |
Pour le forum |
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the.grip@wanadoo.fr |
En réponse à : lucmicoud@wanadoo.fr et à l’attention de monsieur IACONO. Je serai au départ de l’embrun man pour la septième fois cet été et comme Luc, je désespère chaque année devant le tee shirt finisher … A quand un beau polo façon ironman avec un beau logo Embrunman brodé qui restera à jamais inchangé comme le M mithyque. Sincèrement je suis près à mettre 20€ de plus sur mon inscription pour pouvoir arborer ce polo sur d’autres épreuves comme les ironman européens. En juillet 2005 j’avais mon tee-shirt finisher embrun man 2004 lors du repas d’ouverture de l’ironman de Zurich. J’étais bien sur fier de le porter car cela reste un mythe et qu’il est connu de tout le monde mais en comparaison avec les super polos des autres …. ( je parle même pas du polo finisher kona …. ) ça faisait un peu léger !! Alors je renouvelle ma question à Gérald : A quand un beau polo avec un beau logo Embrunman ? De plus, si on décline tout les articles souvenirs ( casquettes, tee shrit etc … ) avec ce même logo on ne verra plus les stands officiels embrun man avec leur stock de casquette à 2€ pas terrible et leur tee shirt coton pas classe disposés en piles dans toutes les tailles. L’embrun man est une institution au mettre titre que l’ironman alors soyons fier d’arborer son logo partout !! Mis à part cela NE CHANGEZ RIEN !!!!!!!!!!!!!!!!!!! Dominique ANCELIN |
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19/01/06 |
Pour le forum |
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lucmicoud@wanadoo.fr |
Bonjour, |
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01/12/05 |
Reportage Embrunman 2005 |
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perroud.philippe@wanadoo.fr |
BONJOUR A TOUS PHILIPPE PERROUD DOSSARD 139 J AI PARTICIPE CETTE ANNEE A L EMBRUNMAN ET JA I EU LA CHANGE DE TERMINE. JAIMERAIS SAVOIR SI QUELQU UN A ENREGISTRE LE REPORTAGE SUR EUROSPORT ET SI CETTE MEME PERSONNE POURRAIS ME FAIRE UNE COPIE. MERCI D AVANCE ET BRAVO A TOUS PHILIPPE |
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21/11/05 |
Compte rendu Embrunman 2005 |
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christian@etphobat.fr |
Bonjours à toutes et tous |
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19/10/05 |
Esprit sportif |
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eric.beurton@laposte.net |
Bonjour, Dans ce courrier, Je souhaiterais émettre quelques impressions et suggestions : 1°) Dans le fichier des résultats, je pense qu'il serait plus juste de séparer les personnes qui ont abandonné (malheureusement) des personnes qu'on a obligé d'arrêter la course, ce qui est mon cas. Pour avoir dépassé de moins de 4 minutes le temps limite de l'arrivée finale vélo, les arbitres m'ont empêcher de continuer la course à pied. J'ai été disqualifié et par conséquent je n'ai pas abandonné !!! Un arbitre voulait me laisser partir, mais son responsable a refusé très froidement que je continue, sachant que j'étais le dernier cycliste. Ma puce électronique m'a été retirée sauvagement (comportement inacceptable). J'ai été très déçu, nous sommes loin de la phrase de Pierre de Coubertin "L'important n'est pas de gagner, mais de participer". 2°) Je suggère un temps limite sur le temps total des 3 épreuves, je pense que ce serait plus juste, car nous avons tous des niveaux différents sur ces 3 épreuves. Par exemple, mon point faible est la natation et mon point fort, la course à pied. 3°) Au départ vélo, dans le stress j'ai eu un gros souci car j'avais oublié mon casque vélo dans ma voiture. Il est clair que je suis responsable, mais je n'ai pas compris pour quelle raison, personne ne me l'a demandé quand je suis rentré dans le parc à vélos. Le temps que mes amis aillent le chercher, j'ai perdu plus de 15 minutes, sachant que j'ai eu d'autres problèmes techniques entre temps. 4°) Je remercie les spectateurs, les bénévoles pour leur aide et sympathie, ainsi que les triathlètes que j'ai croisés sur la route. A l'année prochaine, avec plus de chance !!!! Un triathlète déçu |
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21/09/05 |
ARBITRAGE CONTESTABLE |
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serev83@wanadoo.fr |
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15/09/05 |
Embrunman 2005 |
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caziez.frederic@neuf.fr |
valerie gayraud dossard 27 ales tri |
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15/09/05 |
merci |
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Florence.GAUTHIER@regioncentre.fr |
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13/09/05 |
remarque sur l'organisation du traithlon du 15 aout |
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JL.Bergougnous@lectra.com |
Bonjour, Après la lecture sur le forum de tous les remerciements des triathlètes, il n’y a pas grand-chose à rajouter à tout cela. Après 2 ans de triathlon, je n’ai pas encore la force mentale et l’entraînement nécessaire pour affronter une telle épreuve malgré toute l’émotion et l’aventure humaine que l’on devine au travers des récits personnels de chacun. Le CD me suffit amplement à ce jour même s’il ne peut procurer les mêmes sensations. L’Embrun Man ouvre vraiment la porte à un autre monde mais quel chemin pour y parvenir ! Sur le CD, l’esprit compétition est nettement plus présent mais, chose fantastique, le drafting est un mot dont on n’entend pas parler sur ce parcours, tellement les cotes sont raides, les descentes sinueuses et les parties plates inexistantes. Quelle différence quand on vient de l’Aquitaine et que l’on est confronté systématiquement à ce problème sur nos longues lignes droites ! Chacun est à sa vraie place et ça c’est super. Comme un autre participant, j’ai par contre été surpris de voir la différence de rigueur imposée lors de l’accès au parc à vélo A l’entrée le matin: présentation d’une carte d’identité obligatoire, voire de la licence pourtant non demandée la veille au briefing A la sortie : la plus grande des libertés puisque aucun contrôle n’a été effectué alors que chacun avait normalement sa plaque de vélo, son dossard et une pièce d’identité ! Au prix des vélos actuels, la prise de risque est grande pour les triathlètes. A part cela, rien à redire en ce qui concerne l’organisation, enfin si, peut-être mais c’est plutôt un clin d’œil à la traductrice présente au briefing et dont les traductions était parfois plus ou moins personnalisée. Il faut cependant reconnaître que l’exercice n’était pas facile. Sa bonne humeur a ravi tout le monde. Espérons seulement que personne, notamment sur le long, ait comprit de travers le règlement et se soit fait pénaliser par la suite… Encore une fois, merci à tous les bénévoles, vous êtes la force cachée de cette épreuve ! A l’an prochain j’espère et toujours sur le CD. Jean-Luc du Pessac Aventure Triathlon |
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07/09/05 |
embrun |
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magic.fotovideo@multiwire.net |
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07/09/05 |
embrunman 2005 |
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perroud.philippe@wanadoo.fr |
Une journée inoubliable ! Tout d’abord, merci aux organisateurs et surtout aux bénévoles pour leur gentillesse et leur aide. Un grand merci aussi aux spectateurs qui, jusqu’à la fin, nous ont encouragés ! Surtout à ceux qui, après 22 H, étaient encore au bord des routes pour nous applaudir ! Petit bémol quand aux ravitaillements…. Pouvez-vous prévoir un peu de « salé » (gruyère, jambon, pain….), surtout en course à pied. Les premiers arrivants n’en ont sûrement pas besoin, mais pensez à ceux qui finissent en plus de 15 H ! (c’est mon cas – Dossard 139 – temps : 17 H 29 mn 07s). C’était mon premier Ironman et sûrement mon dernier, mais quel bonheur de recevoir son T.Shirt de FINISHER !!! Merci encore. Philippe – Dossard 139 |
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05/09/05 |
RE: Décés d' un Embrun man |
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eric.parrot@jec.fr |
Bonsoir, De retour aux affaires (et auprès de mon PC !), je voulais vous adresser tous mes remerciements pour ce que vous avez fait : - pour Eric Caradot en lui rendant le meilleur hommage qui pouvait lui être rendu en tant qu?homme et triathlète ! - pour tous les participants de l?Embrun man en faisant perdurer « envers et contre beaucoup » cette magnifique épreuve et son organisation irréprochable ! - pour moi en me permettant de transformer un rêve en réalité pour mon premier longue distance en terminant le plus mythique d?entre eux ! Encore une fois MERCI et BRAVO ! Eric Parrot |
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05/09/05 |
Fw: PUCE EMBRUN |
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CTiburtini@it.loreal.com |
Je vous informe que nous avons déposé la puce de mon fils (CARLO ALBERTO MARCELLINO) à l'Office de Tourisme le matin du 18 Août. Je cueille l'occasion pour vous remercié d'avoir eu l'occasion de participer à cette importante manifestation; il s'agit de la 8eme fois pour mon mari et de la 3eme pour moi! J'espère que contrairement à ce que j'ai lit sur le site, vous aller encore organiser la CD pour l'année prochaine!!! A bien tôt CARLAMARIA TIBURTINI et ALBERTO MARCELLINO |
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05/09/05 |
Réponse à françois Coantiec |
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oreggiagerard@wanadoo.fr |
En réponse au message de François COANTIEC du club d'Arcachon, effectivement je peux confirmer que ce jour là les voleurs ont fait une razzia dont j'ai fait les frais. Néanmoins le tri d'Embrun est magique. |
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31/08/05 |
1001 mercis |
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delait.olivier@swing.be |
Difficile avec des mots de décrire toutes les émotions
qui peuvent vous envahir lors de l'Embrun Man, a fortiori si c'est
le premier ( mais pas le dernier). Alors tout simplement merci
pour cette journ?e inoubliable. Après une épreuve
pareille, on n'est plus jamais tout ? fait le même, mais on
a une envie : recommencer! Merci à toute l'équipe
d'organisation, aux bénévoles et au nombreux public
si chaleureux. |
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31/08/05 |
E-mails envoyés à Gérald Iacono |
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Je peux dire que cet EMBRUNMAN a une véritable AME, moi
qui ai déjà fait Encore "chapeau" à votre organisation et à
toute cette région, et surtout A très bientôt, je vais reprendre contact avec la
Province pour notre stage Amitiés, Marc. Marc CHARLES bonjour, j'ai eu la surprise de recevoir ce jour un courrier me
réclamant la puce Je pense donc que cette juge si zélée a du faire
son travail jusqu'au bout et a En tous cas bravo pour votre organisation, je reviendrais..pour
finir cette fois Tenez moi au courant au sujet de la puce (dossard 112). JF COSTON>
Bonjour, J'ai vécu en cette journée du 15 août l'un des plus beaux évènements qu'il m'ait été donné de vivre, grâce à vous et toute votre équipe. C'est pourquoi je tenais à vous remercier de mettre tout ce bonheur à notre disposition et à vous faire part de toute mon admiration pour la performance de l'organisation mise en place pour cette manifestation. J'ai découvert un nouveau milieu qui m'a totalement séduit. Un grand merci aussi à Patrick DESSALLES sans l'intervention duquel j'aurai été forclos pour la souscription de ma licence et de mon inscription. Je souhaite longue vie au triathlon d'Embrun et à tous les membres de son organisation. En toute amitiés Jean-Marc Daugé Bonjour Gérald, Merci pour l'Embrunman, pourtant je me suis arrêté
au 21 ème km (cap), Victime d'un grave accident lors d'un entrainement (renversé
par un camion)
6h00, comme d'habitude et même sur cette épreuve,
c'est un grand banc Pour les classements : http://gerald.iacono.free.fr/EMBLD.htm
(à noter une A bientôt au multri des Vallons du Lyonnais, Christophe.
Merci à toute l'équipe de m'avoir permis ça !!! Denis Bonjour, Bonjour, Bonjour, Choqué, je voulais vous mentionner que nous avons
quittez le parc à vélo Mon message n'est pas un coup de gueule, mais se veut juste
constructif pour A l'année prochaine j'espère
J'y suis allé à EMBRUN, avec un ami triathlète de longue date (à la retraite) ancien président de Ligue et concurrent dans les années 85, qui s'appelle : GABY GUIHO, Et qui se trouve très souvent en THAILANDE, et qui a vu le triathlon que tu dois organiser en 2006, et il a été très sensible au message que tu as écris dans la plaquette de présentation et souhaite d'aider si tu as besoin sur place, car il doit s'y rendre à cette période c'est un sportif dans l'âme et un homme de grande qualité, qui connaît bien le pays il doit t'envoyer un message prochainement bien cordialement Le Président de La Ligue de Normandie de TRIATHLON Daniel ALLANO Bonjour, J'ai participé pour la première fois à l'Embrunman (CD car ma natation ne me permet pas pour l'instant le LD). Par votre intermédiaire, je tiens à remercier tout particulièrement l'ensemble des organisateurs et bénévoles qui ont œuvré pour la réussite de ces trois jours. Une organisation impeccable pour des courses de folie, mais superbes. Mais quand on aime….. on ne compte pas. Merci encore et à l'année prochaine (continuez d'organiser une autre épreuve que le LD pour ceux qui comme moi, ne peuvent participer au LD mais souhaitent quand même " faire Embrun ") ! Christian Meyer Bonjour, Bonsoir, Bonjour, Bonjour Monsieur IACONO, Triathlète à La Pomme Triathlon Bonjour, Ce petit mail pour vous remercier de tout coeur de vos efforts pour organiser cette épreuve qui mérite bien les qualificatifs qu'on lui accole. Le seul point noir vient d'un arbitrage que j'ai trouvé
un peu zélé. Menacer des concurrents de carton parce
qu'ils discutent un petit peu dans une montée effectuée
à 13 km/h sans vent, c'est manquer un peu de discernement
(surtout quand c'est Chalvet). L'un des arbitres s'est même
fait rabrouer par un arbitre principal qui faisait la
course... Un autre petit bémol est à mon sens le caractère hermétique de l'Embrunman pour les - rares - concurrents qui ne parlent que l'anglais, notamment au niveau du briefing. C'est dommage, parce que l'Embrunman mérite à mon sens plus de renommée à l'international. En ces temps de déficit record, il faut attirer les touristes Japonais, même les triathletes ! En ce ai me concerne, j'encouragerai mes amis anglophones à se frotter un jour à cette course. Si vous voulez que je traduise des documents ou que j'écrive une page web en anglais, n'hésitez pas à me le demander, je le ferai avec plaisir ! La seule chose que je ne pourrais pas traduire, ce sont les 5000 metres de denivellés, car ils n'y sont pas ! C'est un peu long et technique à expliquer mais 3600, c'est déjà bien assez pour fatiguer son homme ! J'ai aussi un profil du parcours CàP si vous voulez. Votre étape du WT LD a Koh Samui semble bien tentante, je vais serieusement la considérer. Je peux en parler autour de moi, c'est sûr qu'elle se passera ? En tout cas, bon courage pour l'organisation, les concurrents en asie viennent le plus souvent de tous les pays environnants, c'est un cauchemar logistique ! Avec toute ma gratitude (tri)athletique. Charles Monneron Bonjour Mr Iacono Bravo pour le 22° triathlon d'Embrun,super ambiance
. je ne figure pas au classement, ayant été mis au
course sur problème mécanique au bout de 15 km. mais
la journée a été formidable (même
ébouriffante), et je n'attends qu'une chose, c'est le
prochain 15 août pour recommencer.
Son affaire, il l'avait préparée. Depuis mars, les côtes de l'Hautil, Meulan Paradis,
l'observatoire, Chanteloup, 5 fois, dix fois et rebelote …
et le Vexin par centaines de bornes ; une course découverte
à Arques (tiens cela lui revient, déjà un
problème de dérailleur dans la côte et trois
minutes perdues) ; le stage natation en Bretagne fin juillet-début
août. Puis, comme on le lit dans les livres, il avait
totalement coupé la dernière semaine, s'était
mis au régime scandinave, pour finir en se gavant de
pâtes. Mais ça y est, il y était, il était prêt. Et le samedi matin, son vélo sur une épaule, son barda 60 L sur l'autre, il partit de chez lui. A l'aventure. Sur place, tout avait bien commencé. Le temps était au beau ; les paysages magnifiques. Certes, les montagnes, paraissaient bien hautes, vues de Gap ce samedi soir ; et que dire le lendemain vues d'Embrun ... Alexandre, croisé aux retraits du dossard, fut particulièrement rassurant : " Tout est dur. L'Izoard, bien sûr, mais aussi, ce pétard, après Briançon, deux kilomètres de montée en ligne droite, 13 % ? 15 % peut être, et la côte de Chalvet pour finir. Sans parler du marathon : tout sauf plat. Et puis, la chaleur, une vraie cagnasse ; et là-dessus toujours du vent, toujours contre. " Et de conclure : " Ce sera demain une grande journée de sport." (à l'évidence, elle le fut, … pour lui ; à quoi bon ajouter que je ne l'ai jamais revu). Une petite reconnaissance s'imposait. Au bord du lac d'abord : quelques gars, en combinaison et au style impeccable, traçaient de fins sillages dans une eau bleue, lisse comme un rêve. Là bas, au fond, à peine visibles, les bouées à virer. Deux fois, il faudrait les passer. Cela promettait d'être longuet ... Puis, avant de mettre le vélo au parc, juste le temps avec la Twingo, de voir ce qu'était une route de haute montagne. Direction l'Izoard donc. L'approche était longue, mais n'avait rien d'effrayante. Puis la pente s'est accentuée en longue ligne droite dans l'alpage, un village, et la route qui butte sur un versant couvert de sapins. Mais où passe-t-elle ? Ces traces en épingles, qui taillent un pourcentage effrayant vu d'en bas, ce n'est tout de même pas la route ! ? un chemin forestier, certainement. Mais non, c'est elle ; invraisemblable ! à faire peur ; le village en contrebas, presque à la verticale ; et ces marches en lacet à n'en plus finir dans la forêt. Puis tout d'un coup, du plat, un virage sur la droite en descente, et on bascule dans un autre monde, minéral, des champs de pierres vieille rose, plantés de pitons rouge ocre, droits dans la pente : " la cassa deserte ", belle à en pleurer. Enfin, trois lacets et le sommet. Cela promettait d'être grand. Mais il fallait rentrer. Mettre son vélo au parc pour la nuit. Le vent s'était levé ; il soufflait en bourrasque sur le plan d'eau méconnaissable. Et là, première alerte. Le vélo sorti de
sa housse avait apparemment bien supporté le voyage, mais
pourquoi diable, la roue avant, serrée à fond,
branlait avec un jeu impossible ? Vingt minutes à essayer
de comprendre. En vain. Quatre kilomètres de test ; tout
est parfait, sauf cette drôle de sensation à l'avant
mais tant pis, cela tiendrait bien ; de toute manière il
fallait se présenter au parc. Je m'éclipse cependant avant la fin. Il faut retourner sur Gap et essayer de dormir un peu : demain réveil à 3 heures ; après 4 heures, pas moyen de se garer m'a-t-on dit. Comme prévu impossible de s'endormir ; le vent souffle en tempête ; je pense au plan d'eau ; mon entraînement dans la houle finistérienne va peut être me servir. Puis, au lieu de compter les moutons, je repense à mon problème ; au problème de la clé. Et oui la clé ! Celle de la voiture de location ; je n'ai pas le droit à l'erreur : ni la perdre, ni me la faire voler. Alors où la mettre durant la natation ? Dans la combi ? Dans mes chaussures ? Ailleurs ? Pas facile, hein ? Un vrai cauchemar. Le réveil sonne : 2h30. Je venais de m'endormir. Il faut y aller. Petit déjeuner du condamné. Le vent est tombé. La nuit est pure et noire d'étoiles. Il gèle dans la voiture. J'arrive à Embrun. Tout est désert. Je me gare du premier coup tout près du départ. La chance est avec moi c'est sûr. Je lève la tête, une étoile filante ; puis une autre, et une troisième. Assurément, c'est mon jour de veine ; je suis un " finisher " en puissance. Je rentre dans le parc. Les concurrents sont déjà presque tous là, sereins et silencieux. Départ dans 30 minutes dit le speaker. Je déballe mes affaires, confiant ; j'ai trouvé la solution pour la clé. Mais tout d'un coup, poussée d'adrénaline. Le bonnet blanc de natation, numéroté 396, a disparu. Il doit être dans le coffre de la voiture. " Pressez-vous, départ dans 25 minutes " me dit-on à la sortie du parc. Je cours à grandes jambes (elles sont bonnes ; je ne les avais pas testé depuis 8 jours). Le bonnet est là. Tout va bien. J'enfile la combinaison. Plus le temps d'aller saluer Luc, le 376, qu'on appellera Stéphane aujourd'hui. La ligne de départ est déjà noire d'ombres coiffées de blanc ; je reste prudemment dans le dernier tiers, les pieds sur l'herbe glaciale. Six heures, la meute est lâchée, dans des gerbes d'eau blanche et la nuit noire ; le lac est plein de reflets des lumières de la rive et des flambeaux des kayaks suiveurs ; les bouées sont invisibles ; mais peu importe, il suffit de suivre les pieds des nageurs devant soi. Surprise, j'avance bien et remonte beaucoup de concurrents comme aspiré par un courant. Au bout d'un demi tour, le jour commence à se lever ; je vois les spectateurs massés sur les rives. Bientôt la fin. Je pensais être ridicule, mais je suis loin d'être le dernier. Je cours dans le parc ; transition poussive ; à 7 h 20 je suis sur mon vélo. Les premiers cent mètres sont plats. Ce sont les
derniers de la journée. Tout de suite, on attaque 10 km de
côte. Je commence à donner du dérailleur en
mettant bien à gauche. J'entends un arbitre à
l'arrière d'une moto montrer les concurrents qui emmènent
grand et dire : " ils vont morfler " ; il me salue, et
dit : " C'est toi qui a raison, continue tranquille sur le
triple ". Premier replat ; je redescend sur les petits
pignons. Catastrophe, la chaîne ne cesse de sauter : en
fait, elle ne tient à peu près que tout à
gauche sur le petit plateau, ou tout à droite, sur le grand
! 185 km à ce régime cela promet ! On arrive à
la fin de cette première montée ; à chaque
replat je me fait distancer ; un dernier mur de 20 mètres ;
" 23 % ! " j'entends. Je mets tout à gauche, la
roue se bloque ; je tombe, me relève, cours un peu plus
haut, où la pente est moins forte ; je remonte en selle,
mais la chaîne est bloquée. Je redescend, passe de
l'autre côté de la bosse, réappuie sur les
pédales. Et tout s'écroule : la chaîne brisée
pendouille sur la route. Au sommet de la bosse, juste devant le
poste de comptage et un arbitre dans le dos. On voit Embrun tout
en bas, au fond. 15ème kilomètre. Les coureurs
passent en file dans mon dos. Des mois de rêve ; des
semaines de préparation. Je n'arrive pas à y croire.
Cinquante mètre avant le hameau, j'aborde un homme dont la voiture barre un chemin adjacent. Tout de suite, il mesure les dégâts. Il regarde dans son coffre, mais n'a pas les outils : il lui faut une pince et deux marteaux. " Allons à la ferme, on va bien trouver quelqu'un. " dit-il décidé. Mais, la ferme semble déserte. On est dans l'ombre ; je commence à sentir le froid. Enfin, une très vieille femme, toute menue et courbée, sort. Vive, elle comprend tout de suite la situation, mais se lamente ; les hommes sont plus bas à surveiller les carrefours ; les outils sont sur les tracteurs. Elle ne voit pas comment nous aider. On insiste. Elle ouvre une porte : une sorte de cave apparaît, de plein pied, sombre. Elle s'y engouffre. Les minutes passent. Cri de victoire ! " J'ai trouvé une hache " ; elle la sort et disparaît à nouveau dans la caverne ; nouveau cri : une pince à couper ; puis, enfin un petit marteau. M. Rossignol (de la famille Briand, du Villard ; nous avons eu le temps de faire connaissance dans les formes) est enfin à son affaire : il resserre d'un coup de pince le maillon entre ouvert, le repositionne, passe le fer de la hache sous la chaîne et rive le maillon à coups de marteau. On redresse le vélo ; on tourne les pédales ; rien ne bouge ; on regarde de plus près : l'imbécile que je suis avait passé la chaîne dans le mauvais sens : c'est clair, je ne méritais pas de finir cette course. On reprend donc tout à zéro : M. Rossignol retrouve le maillon accidenté, le dérive, l'ouvre, passe la chaîne dans le bon sens et rive à nouveau. Autant dire que dans notre dos, la route est maintenant totalement déserte. Je suis gelé. Mais le vélo d'aplomb est prêt à repartir : cela tiendra, me dit M. Rossignol ; combien de temps ? 10 km, 100 km, un an peut être ! Voilà de quoi rassurer ! Peu importe, je vais repartir, sur la route, dans le ciel bleu et le soleil, sur les pentes vertes et dorées. Je ne sais comment remercier mes sauveurs, emballé par leur gentillesse. Je suis passé sur l'autre versant de la combe ; le soleil me réchauffe ; je m'alimente ; la chaîne cogne à chaque tour, et j'ai perdu l'usage du plus grand pignon, le 23 dents ; il risque de me manquer celui-là … Mais peu importe, je baigne désormais dans l'euphorie. Les paysages sont beaux à couper le souffle, le lac de Serre-Ponçon brille, tout bleu, au fond de la vallée ; je dévale la route ; je salue les spectateurs, leur expliquant au vol mon infortune. Dans un lacet en épingle, un arbitre me fait arrêter, et, cette fois ci, je perds définitivement mon dossard ; restent mon tatouage et ma plaque de cadre ; c'est suffisant pour les spectateurs, qui m'encouragent sans comprendre ma situation. On m'annonce que derrière moi, il n'y a plus qu'une concurrente ; elle a chuté et lutte contre l'abandon. Je prie pour que ce soit le plus tard possible, craignant de voir subitement disparaître devant moi les postes de ravitaillement. Plus loin, vers le cinquantième kilomètre, je rejoins un cycliste. C'est sa deuxième sortie en trois jours et il la voyait courte ; mais de bavardages en bavardages, il me suivra jusqu'au sommet de l'Izoard. En approchant le col, je commence à rattraper quelques concurrents, très éprouvés. Je les passe sans pitié ; j'en suis même ravi : je suis de retour dans la course. Enfin, en queue de course, disons. Comme annoncé au briefing la veille, une voiture de l'organisation pointe les numéros des candidats à l'élimination au sommet de l'Izoard. Il faut passer avant 13h10 ; la situation semble compromise, mais je tiens le rythme sans trop pousser celui de mon cœur. J'en bave dans les trois derniers kilomètres : je suis obligé d'accélérer pour passer dans les temps, le vent souffle contre, et pas facile de s'alimenter dans cette foutue pente. On ne me croira peut être pas : je passe pour la gloire, mais dans les temps ; il est 13h09, 21 secondes à ma montre ; je suis le dernier à passer avant l'heure couperet. Je ravitaille sans me presser ; je raconte mon histoire, on m'aide à passer mon coupe vent et je me lance dans la pente. Première ascension, première descente d'un col de haute montagne ; je suis prudent. Mais la route est belle ; en arrivant dans les sapins, une voiture me double, puis me bouchonne ; des belges ; je la redouble en râlant et levant les bras. Je vois un objet gris tomber sur la route ; je m'arrête vingt mètre plus bas ; la voiture me redouble, le conducteur ne comprend plus rien. Je veux vérifier que ce n'est pas un patin, cela y ressemblait, un truc gris avec du métal ; mais ils sont bien tous là ; je regarde ma petite trousse de selle ; elle baille très légèrement ; certainement un patin de rechange qui a du glisser et tomber. J'hésite mais je décide de ne pas remonter les quelques mètres et reprends la descente. Il fait froid ; je traverse les deux hameaux en contrebas, puis continue la descente, sur la longue partie en faux plat ; les kilomètres filent faciles. Mes pensées vagabondent ; que la journée est belle, malgré tout ; je n'arrive pas à regretter quoique ce soit ; ferais-je le marathon ? ou simplement 10 km ? C'est clair, je reviens dès que possible ; quel bonheur cette course ... Bientôt la bascule sur Briançon. Mon attention revient sur l'objet tombé là haut près du sommet ; je tâte les poches dans mon dos, ma licence est bien là, perdue au milieu des barres énergétiques ; et tout d'un coup, une vieille copine revient à mon souvenir : ma clé ! la clé de voiture ; je l'avais oubliée celle-là ; je tâte la petite poche de mon cuissard ; elle pend vide à l'extérieur. Je n'hésite pas une seconde ; il est 13h40 ; je repars en sens inverse. La journée est folle. A l'évidence, elle n'est pas la seule, du moins pour les gens que je croise dans les voitures. Je lis dans leurs yeux : " il est devenu fou ! " et malgré mes gestes aucun ne s'arrête. La route est coupée dans le sens de la montée, propre et lisse comme un billard. C'est ma chance. Pourvu que personne ne la ramasse, cette clé. Pour l'instant, la pente est faible ; j'avance vite. La voiture de gendarmes que j'avais vue en descendant est là. Je m'arrête. Le gendarme, un peu endormi, n'a visiblement pas en tête de quitter son poste ; mais il prend son talkie-walkie ; une fois, cinq fois, dix fois, il appelle le chef d'escadron qui est au sommet. Les minutes passent ; les voitures aussi. Je vois la voiture balaie ; les concurrents malheureux ont encore la force d'ouvrir des yeux ronds. Un cycliste au maillot rouge passe dans mon dos très vite. Il sera sur la clé avant moi. Je laisse le gendarme et je repars. Deux ou trois kilomètres plus haut, j'arrive enfin à arrêter une moto qui descend ; le motard et sa passagère font partie de l'équipe des suiveurs chargés des soins ; ils se mettent en quatre, appellent une voiture plus haut ; elle va me prendre et me monter là où la clé est tombée. C'est un 4x4 ; mais du genre luxe, fauteuils cuirs ; pas de place pour le vélo. On me propose de le mettre sur une décapotable qui va bientôt passer ; je le récupèrerai le soir à 22 h à Embrun. Pas question, je veux finir le parcours ; c'est mon obsession depuis le matin ; je descend un fossé et je planque le vélo sous un petit pont sous la route. Le 4x4 puissant enchaîne les lacets ; je dis au conducteur de ralentir ; il dit : " il y a une clé là ". Je vous l'avez dit ; j'ai une veine sans pareil aujourd'hui ; vous n'êtes pas d'accord ? On redescend ; le vélo n'a pas bougé. Je repars. Il est 14h31 ; 90 km encore. Le parc à vélo sera
fermé à 17h30. Cette fois, je ne pourrai pas finir
dans les délais. Peu importe ; profitons de la route. A la
sortie de Briançon, les dix kilomètres de plat de la
journée ; je bois, je m'alimente. J'attends le fameux
pétard annoncé hier matin par Alexandre et confirmé
ce matin par le cycliste de rencontre : la côte de
Chancella, un tiers des concurrents y abandonneraient dit la
rumeur. Les paysages sont magnifiques ; je me retourne, le Pelvoux
et la barre des Ecrins ; tiens, deux grosses ambulances dans mon
dos à 50 mètres. Mais pourquoi roulent-elles aussi
lentement ? Deux kilomètres plus loin, elles sont toujours
là ; derrière elles un petit bouchon est en
formation. Je comprends, c'est à moi qu'elles en veulent.
Je m'arrête. Je sens un soulagement dans l'habitacle : Cette fois-ci la journée est terminée. J'ai la tête pleine d'images, de soleil et de vent, et pour longtemps. Retour en train le lendemain. A 18 heure, j'arrive chez moi ; je fais le répondeur : c'est bien jour de piscine ; j'ai une heure trente devant moi pour déballer. Je me doute que je ne pourrai pas échapper à une rédaction pour le petit journal. Le président confirme : trente ans de mémoire triathlétique et jamais entendu une histoire pareille ; c'est clair j'ai la palme. Me voilà rassuré. A défaut d'atteindre mes objectifs, j'aurai au moins gagné quelque chose cette année. Et surtout beaucoup appris. " Il va falloir s'y prendre plus tôt. Si je ne me trompe pas l'an prochain le 15 août est un mardi ; alors peut être que je pourrais …à moins que ; c'est sûr, il faut y réfléchir… . "…Cela sent l'obsession Bonjour, merci de m'expliquer mon absence des résultats. merci encore pour l'organisation de cette formidable épreuve
et résultats ou non à bientot ludovic Bonjour, Excusez moi monsieur,
Bravo pour toutes les courses de 2005 , attention le parcours
velo de l'avenir est beaucoup trop dangeurreux !!! D'abord un grand merci pour cette très belle
organisation et merci de nous offrir un triathlon grandiose et
très difficile qui nous laisse que des grands
souvenirs.
Bonsoir Mr Iacono, - Jacques Jehlé : né le 24/12/41 - permis n°
7917 / 63 Bonsoir,
... |
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25/08/05 |
remerciements |
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Bonjour, |
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25/08/05 |
RE : [crv_triathlon] 15 08 2005 - Embrun |
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franck.lambolez@serned.fr |
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25/08/05 |
triathlon d'embrun- puce electronique |
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bonjour, j'ai eu la surprise de recevoir ce jour un courrier me
réclamant la puce Je pense donc que cette juge si zélée a du faire
son travail jusqu'au bout et a En tous cas bravo pour votre organisation, je reviendrais..pour
finir cette fois Tenez moi au courant au sujet de la puce (dossard 112). JF COSTON |
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29/08/05 |
Résultats |
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imadec@wanadoo.fr |
Bonjour
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28/08/05 |
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JJULIAN374@aol.com |
Monsieur Iacono, c'est avec du retard que je vous adresse un
grand merci, a vous, a l'organisation, et aux bénévoles,
pour cette fantastique journée du 15 aout que vous m'avez
fait passer. Longue vie à l'embrunman encore bravo. |
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28/08/05 |
Bravo !!! |
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DJVDS@aol.com |
Bravo et merci pour ce que vous faites pour le triathlon. Pierre VANDERMESSE |
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28/08/05 |
embrunman |
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dhelyjoly@free.fr |
Merci et bravo à l'organisation pour ces 3 jours de
triathlon de très haut |
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25/08/05 |
Embrunman CD 2005 |
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matdelebarre@hotmail.com |
Bonjour, Je n'ai pas pu participer cette année au CD suite au surplus d'inscription...cela a été une grande déception ms je suis content que cette nouvelle édition ait été encore une fois une grande réussite. J'espère vraiment que l'épreuve du CD sera reconduite l'année prochiane...car elle fait partie également de la "fete" et cela serait un gran manque. Un grand merci àl'organisation et espere que j'aurais la chance de pouvoir participer à l'edtion du CD de 2006... |
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25/08/05 |
Embrunman 2005 |
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pascal.bourdeu@arkemagroup.com |
J'ai eu la chance de finir cette épreuve mythique pour
ma première année de triathlon ( et mon deuxième
triathlon de l'année aprés le CD de Villeuneuve sur
Lot). Pascal BOURDEU ( 577e en 15h20mn ) pascal.bourdeu@arkemagroup.com |
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25/08/05 |
Embrun 2005 |
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oissec@wanadoo.fr |
Je me fais l'écho de tous ceux et toutes celles,
spectateurs y compris, qui ont vécu 3 jours superbes sur
Embrun cette année. |
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25/08/05 |
Embrun 2005 |
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christian@etphobat.fr |
Bonjour, J'ai eu le plaisir, furtif, de vous saluer, le 15 août au détour d'une rue d'Embrun. J'aurais bien aimé vous remercier plus vivement pour votre organisation, et le "plaisir" que nous participants y avons. Je tenais à saluer et remercier tous les bénévoles, et plus particulièrement ceux en haut de l'Isoard, qui dans des conditions très dures aussi pour eux (froid) qui se sont mis en quatre pour nous. J'avais juste deux petites suggestions concernant l'organisation, c'est bien peu mais ça peut être très utile : Ne serait il pas possible d'avoir, en haut de l'Isoard, du ravitaillement salé autre que tomate+sel ? et aussi sur quelques ravito CAP De même pour eux qui arrivent tard J dont moi, ne serait il pas possible d'avoir des couvertures de survie ou autre car cette année il faisait frais après 23 h Merci de voir si vous pouvez faire quelque chose. J'ai en plus une requête à vous transmettre, vous serait il possible de demander à : * La mairie d'Embrun de changer les ampoules d'éclairage, le long de la digue, j'ai failli me faire un entorse du genou à 3 km de l'arrivée * au camping des Clapières de voir s'il ne serait pas possible exceptionnellement de laisser les douches ouvertes après 22 h, ce n'est pas évident de macérer dans son jus toute la nuit, malgré une toilette sommaire. Cordialement Christian Scifo Triathlète amateur et passionné http://christian.scifo.online.fr |
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25/08/05 |
PHOTOS |
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jeanlouis.martin@club-internet.fr |
Bonjour ; J?ai participé au CD Embrunman cette année et je voudrais savoir si le photographe de la course a encore des clichés à vendre .Merci de me donner ses coordonnées Sincères salutations et un grand merci pour l?organisation ???.à bientôt peut-être sur le LD ??? Jean-louis Martin / dossard 1368 Réponse : Oui, il est possible de se procurer les photos prises sur le parcours en contactant : TINTIN Photos , 05200, les Orres, tél 04.92.44.09.57 |
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25/08/05 |
PHOTOS |
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Terlaud.Fabrice@wanadoo.fr |
Bonjour et encore bravo pour votre organisation d'un si bel
événement. Réponse : Oui, il est possible de se procurer les photos prises sur le parcours en contactant : TINTIN Photos , 05200, les Orres, tél 04.92.44.09.57 |
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22/08/05 |
Vol au triathlon LD d'Embrun |
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oreggiagerard@wanadoo.fr |
Le 15 aout 2005, j'ai été victime du vol de mon
matériel dans le parc alors que je venais de déposer
mon vélo pour effectuer la course à pieds. Si comme
moi, cela vous est déja arrivé, cette année
ou avant, contactez moi par tel: 06.77.81.45.97 ou par mail:
oreggiagerard@wanadoo.fr. |
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22/08/05 |
embrunman chute au km 30 |
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marc.amelynck@chello.be |
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08/07/05 |
Cintre avec prolongateurs |
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benoit.combeaux@wanadoo.fr |
Bonjour, |
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03/07/05 |
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alexispauly@free.fr |
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02/11/04 |
Dénivelé |
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cyril.gautier@jeunesse-sports.gou |
Bonjour, Ce sujet ayant suscité pas mal d'échanges, voici les explications de Cyril sur cette mesure : EmbrunMan_dénivelé Salutations et merci pour vos mails qui font vivre cette rubrique. Belkacem |
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02/11/04 |
embrunman 2004 |
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yemond@stepmind.com |
Bonjour, Vous allez peut être avoir qq difficultés à
réaliser ce que je vais vous |
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03/10/04 |
résultats |
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imadec@wanadoo.fr |
bonjour à tous est-il possible de se procurrer les résultats des 4 dernière éditions du LD d'Embrun sous un format xls. A part ça, cette épreuve est formidable autant pour un coureur que pour un spectateur (même non averti...) Allez-y, le site est fabuleux! Iltud MADEC |
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20/09/04 |
Dénivelé |
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TGuglielmi@panini.fr |
Je suis très heureux de l’explication scientifique fournie par M.Gagnard car il nous apparaissait impossible que le parcours vélo de l’Embrunman soit supérieur à 4.000 mètres de dénivelé. Nous avons ainsi effectué plusieurs mesures avec différents Polar (710 & 625), différents intervalles d’enregistrement (5 et 15s) et nous arrivions systématiquement à un chiffre compris entre 3.600 et 3.680. J’espère que cette interprétation permettra de rétablir une certaine vérité si elle ne change rien sur le fond (le parcours sera toujours le même ! TANT MIEUX !). Merci encore. |
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18/09/04 |
à propos du dénivelé |
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m.gagnard@univ-lyon1.fr |
Bonjour, |
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07/09/04 |
forum embrun-man |
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Philbruy@aol.com |
bonjour ! Merci, merci et encore mercis, 1000 mercis @ tous !
Phil-------------12h52' - 87°-doss 180 |
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06/09/04 |
Ravitailements pas top |
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boisson@imaginez.fr |
Bonjour, |
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04/09/04 |
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SylvetteSillon@neuf.fr |
pourquoi un temps limite si court en velo pour les feminines?certain hommes mettent 7 heures pour courir le marathon .ce serait plus logique de mettre un temps limite au passage du premier tour en course a pied. . mais peut etre ne cherchez vous pas a avoir plus de 19 feminines ! dommage car cela fait 2 fois que je ne rentre pas dans le temps limite en velo alors que sur ironman je coure le marathon en moins de 5h30 ; pensez y ,vous auriez plus de monde. |
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02/09/04 |
MERCI !...M E R C I !.... |
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jean-marc.libert@ratp.fr |
J'ai découvert le triathlon en 2000 et de passage (par
hasard) à |
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30/08/04 |
EMBRUN MAN EN CD C'est le pied ! |
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pellissier.s@fongecif-lr.as |
Moi aussi, c’était mon premier EMBRUN en CD…LE PIED ! Tout y passe : l’envie, l’impatience, la peur et enfin le bonheur d’avoir fait Embrun, et d’avoir fait un des plus beau tri (en tout cas le plus beau CD que j’ai pu effectuer). Un jour je serai peu être prêt pour effectuer l’iron, enfin j’espère. PS / Comment fait-on pour ce procurer les photos, parce « tintin photo » je n’y arrive pas et je voudrai un souvenir de ce fameux cd, merci d’avance ( envoyer l’info sur peps72@libertysurf.fr) 477ème. |
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28/08/04 |
embrunman 2004 |
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dirk.logghe@skynet.be |
c'etait mon premier Embrunman mais certainement pas mon
dernier: comme deja PS/ NIET LACHEN MET DE SCHRIJFFOUTEN. |
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27/08/04 |
Extraordinaire EM |
antoine.duchateau@smiths-heimann-fr.com |
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ENORME MERCI à Rose, Valentin et Théo |
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25/08/04 |
Erratum : Calais 4ème (... et non pas Gravelines) |
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Fmasson@tele2.fr |
Bonjour, |
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25/08/04 |
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Migadels@aol.com |
Bonjour a tous, j'ai participé a l'Embrun Man cette
année et ce fut la plus belle course et la plus longue a
laquelle j'ai participé. Quelle ambiance sur le bord des
routes et quel paysage magnifique que j'ai pris le temps
d'apprécié. Le petit massage apres le vélo
fut tres agreable surtout quand c'est fait par 2 jolies
masseuses!! Je me pose quand même une question, j'ai 29 ans,
et je voulais savoir quel etait l'age du plus jeune concurrent(e)
cette année? Merci a l'organisation et a tous les bénévoles
et une chose est sûr je reviendrais un jour pour essayer de
faire un peu mieux. |
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25/08/04 |
Embrun |
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michael.fuentes@obs-banyuls.fr |
Salut, |
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24/08/04 |
Bravo aux bénévoles |
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gerard.rolland@wanadoo.fr |
Remerciements |
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24/08/04 |
départ féminin - masculin |
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fabienne.jeanson5@wanadoo.fr |
Bonjour à tous, |
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24/08/04 |
message pour le forum |
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w.guilleton@free.fr |
Bonjour, Je suis d'accord avec Sylvette Sillon, il vaut mieux voir un
triathlète hors Tout ceci dit le triathlon d'Embrun est une très belle
course, une Pour ma part je salut un homme comme E.Caprin qui est admirable. Bonne réflexion sur la notion d'humilité... |
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24/08/04 |
Question |
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frederic.daniel@eds.com |
Félicitation pour votre dévouement à cette
formidable fête du sport qu'est Je n'arrive pas à trouver le classement d'un copain de
club (Patrick Lucas) A t'il abandonné ? Merci d'avance et encore BRAVO |
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24/08/04 |
EMBRUN MAN |
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Sbellu@valenciennes-metropole.f |
J’ ai participé à l’ embrun man Je n’ ai que des superlatifs Fabuleux geant AVEC UNE GRANDE ENVIE : CELLE DE REVENIR L ANNEE PROCHAINE !!!!!!!!! Pour ma part je termine en 16 h PEUX MIEUX FAIRE !!! JE REMERCIE L’ ORGANISATION , LES BENEVOLES pour avoir mis sur pied cette superbe machine à plaisir qu’ est L’ EMBRUN MAN Merci encore et à l’ année prochaine Salvatore BELLU TRIATHLON CLUB DOUAI |
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23/08/04 |
Premier CD!! |
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matdelebarre@hotmail.com |
Un grand merci à l'organisation de l'embrunman qui ns a
permis de réaliser notre premier CD! |
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23/08/04 |
CD embrun |
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mariealex@tiscali.fr |
salut Merci aux organisateurs, merci aux bénévoles, merci aux triathlètes qui, malgré des doutes sur l'annulation, ont prévu cette épreuve dans leurs emploi du temps. bref merci pour ce week end. Le CD : ma première année tri, mon objectif quelle ambiance!!!!!, le départ, 700 passionnés dans l'eau, le parcour vélo et ses 1200m de dénivelés qui font surchauffer les jambes. les encouragements tout le long du parcours et enfin ce tour du lac avec toujours autant de monde........ malgré une arrivée loin des premiers, les applaudissements sur la lignes qui font plus que du bien. j'ai juste une seule ombre au tableau : arrivée 417, le ravitaillement de la ligne d'arrivée était composé d'eau et de raisin sec. Les bénévoles nous ont dit qu'il ne restait plus rien, plus de coca, plus de banane, plus d'orange, plus de barre....dommage car j'avais vraiment besoin de sucre après 3h16 d'efforts. une suggestion : ne pas tout mettre sur la table dès que le premier arrive et sortir au fur et à mesure, dommage que les premiers ne pensent pas aux autres.... mais bon......... conclusion: très belle épreuve qui me donne envie de dire à l'année prochaine. et pourquoi pas à dans quelques années pour l'embrunman. |
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23/08/04 |
bravo ... et une petite question sur les temps intermédiaires |
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anarpahube@free.fr |
Bonjour et un très grand bravo pour le tri du 13 août
auquel j'ai participé avec Juste une petite question sur les résultats et les temps
intermédiaires pour le Merci et encore bravo pour tout. |
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23/08/04 |
Classement par équipe |
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TGuglielmi@panini.fr |
Bonjour, Je suis toujours autant ravi de me présenter le 15 août au départ de cette course mythique et j’espère en être encore l’année prochaine. Je voudrais cependant effectuer deux petites remarques : 1) le classement par équipes est erroné dans la mesure où notre club ne figure pas : TRIALP 06 (28° Thierry GUGLIELMI, 39° Stéphane PALAZZETTI, 95° Thierry GAGNEPAIN). Ce n’est malheureusement pas la première fois. Pouvez-vous corriger ce classement en conséquence. 2) J’ai un dénivelé positif de 3.600 m pour la troisième année consécutive sur mon POLAR qui possède la fonction d’altimétrie. Tous les participants savent pertinemment qu’il n’y a pas 5.000 m de dénivelé mais bien 3.600 comme le spécifiait l’ancienne plaquette. Merci de prendre mes remarques en considération et encore bravo à vous tous. |
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23/08/04 |
Bravo à tous |
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huguesschuster@pascalcoste.com |
Bravo à tous concernant l'Embrunman 2004, une expérience
personnelle unique, un public très chaleureux, une super
organisation, bravo pour les massages entre le vélo et la
course à pied, c'était magnifique, à l'année
prochaine... |
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22/08/04 |
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philippe.mahe14@libertysurf.fr |
Bravo pour cette superbe journée et merci à tous
les bénévoles qui en plus encouragent. |
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22/08/04 |
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sylvette.sillon@tiscali.fr |
pourquoi un temps limite si court pour les feminines en velo? c'est dommage, cela fait 2 fois que je participe et que je ne rentre pas dans le temps limite a la fin du velo.( sur un ironman je cours le marathon en moins de 5h30). pourquoi ne pas mettre un temps limite a la fin du premier tour en course a pied et un temps limite plus long en velo.Ce serait plus juste ,car quand on voit des coureurs boucler leur marathon en plus de 7h30 ce n'est plus un ironman ,c'est un course de velo et on marche plus ou moins pendant 42 kms car on n' a pas pu gerer son velo pour rentrer avant 17h15. je ne dois pas etre la premiere a dire cela ,pensez y vous auriez plus de monde . |
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21/08/04 |
félicitations à l'organisation |
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nixorolland@wanadoo.fr |
J'ai eu la chance de suivre partiellement et dans le pur
respect du règlement, un triathlète sur le longue
distance. Je ne reviendrai pas sur les décors somptueux, le
spectacle grandiose et permanent ainsi que le courage des
compétiteurs. |
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22/08/04 |
Resultats |
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laurent.fenech@wanadoo.fr |
Bonsoir, |